DJ Ifrit vous offre son mix merguez

La nuit tombait sur EDM. Ifrit était retourné à l’usine désaffectée. Il traînait derrière lui un clochard ivre mort qu’il avait chopé dans sa rue. Il grognait après lui…

"Je t’avais dit quoi ? Parasite va. C’est ma rue ici, tu vas comprendre ta douleur d’être tombé sur moi"

Il le traînait avec force, le clochard ne pouvant rien faire. Arrivée dans l’usine, Ifrit alluma les vieilles lampes sautillantes du à l’ancienneté du câblage électrique. Il poussa le vieillard dans une cuve vide, ouverte sur le dessus. Puis il repartit dans la rue. Quelques heures plus tard, il revint avec deux autres clochards traînés derrière lui. Ils connurent le même sort que le premier. Il vida de vieux fûts, déversant leurs contenus toxiques sur le sol, dessinant une allée qui menait à la cuve. Puis, pour la seconde fois, il repartit pour revenir rapidement avec un poste de musique qu’il venait de dérober dans un magasin non loin de là. Tout était en place pour sa soirée improvisée. La musique techno à fond, il grimpa sur une poutre métallique, s’écria de toute son énergie en direction de la rue…
"DJ Ifrit vous invite ce soir à son mixe house spécial merguez de clodo, venez me rejoindre autour de la flambée de la nuit !!!!"

Un badaud qui se promenait par là, poussé par la curiosité, vint entrer dans l’usine pour voir ce qui se passait. Ifrit, du haut de sa poutre lui tomba dessus, l’assommant au passage. L’homme se réveilla attaché à une colonne, une cible dessinée au sang au milieu du front, torse nu, une autre cible dessinée sur celui-ci...

Galhya avait décidé de se ballader un petit peu ce soir. Elle s'ennuyait un peu dans sa serre et elle avait envie un peu d'action. Cette période était un vrai pelle mêle dans son cerveau car autant elle arrivait à se convaincre qu'elle était bien seule autant le besoin de voir certaines personnes la démangeait. Elle avait encore bien trop de fierté intérieure pour oser mettre des noms à ces personnes.

Lorsqu'elle arriva à l'usine elle vit un grand feu et une odeur fortement alléchante de viande et de la fumée

Hummmmm Sauterie???

Elle s'approcha et elle apperçut Ifrit qu'elle alla saluer.....

Hum sont sympa ces merguez, mais moi jpréfère les brochettes...que c'est bon de les entendre hurler, regarde moi ça comme ils crépitent de douleurs....t'es un bon garçon! Je reviens jvais chercher de quoi agrémenter ce merveilleux repas

Galhya partit alors faire quelques courses, elle ramena de grandes barres de fer pour embrocher les clochards, de la musique, de la bonne dance hall pour bien tripper et arracher les oreilles de tout le monde et enfin le petit plus, du petit punch coco expédié de Martinique, qui se buvait sans fin comme du petit lait

Voila j'ai ramené de quoi agrémenter cette petite fête tu permet que je me joigne à toi.....j'ai laissé un mot pour que d'autres vienne participer à ce délire....

Puis elle s'approcha des clochards presque morts avec ses barres de fer, les yeux ronds comme des billes, elle tendit une barre à Ifrit puis embrocha le premier. Il n'étaient pas encore suffisemment cuits et le sang commençait à gicler...Galhya prit alors la bouteille de rhum et se mit à faire quelques pas de danse et rigoler

Ifrit alluma les produits toxiques par des gerbes de flammes provoquées par ses mains. Les produits s’enflammèrent immédiatement, dégageant une forte chaleur. Il alla chercher un premier clochard qu’il attacha à une barre de fer, puis l’égorgea de ses ongles, récoltant son sang dans un vieux récipiants. Il allongea la barre en travers du feu faisant rôtir le vieil homme ou du moins son cadavre…

"Le dîner est bientôt prêt !!!"

Le jeune ténébreux se saisit de vieilles tiges fines de ferraille qu’il fit fondre avec ses mains en aiguilles grossières. Puis avec son sourire diabolique, il l’envoya se planter sur l’homme attaché. L’aiguille se planta dans le bras, faisant sortit un cri douloureux de l’homme cible…

"Oh ne crie pas comme ça, on dirait une gonzesse !! Tu crois que tu vas mourir vite peut être ? Tu rêves mon gars"

Ifrit vit Galhya arriver. Il était content de la revoir. Il lui sourit, l’invitant à se joindre à lui. Elle avait ramené le nécessaire pour passer une superbe soirée…

"Galhya, ravi que tu te joignes à moi pour cette soirée. C’est la fête, tout le monde s’amuse !!!"

Olympe avait reçut l'invite de Galhya pour venir à l'usine, ce qu'elle fit. Elle pensait que c'était encore une réunion bidon mais non la surprise, la musique retentissé dans toute la rue et le feu fesait une lieur dans le fond vers l'usine. Elle vit Ifrit et Galhya qui prennaient un plaisir fou a préparer leur diné!

- Hé coucou les loulou!!!!
qui est ce qui a préparer cette sauterie??

Olympe avançait toujours en direction des deux darks qui s'éclatait un max.

- bon est bien moi j'ai ramené que des trucs bon pour passer une soirée comme il faut!

Elle repris son ricanement agassant et sautilla.
Elle sorti de son sac une grosse bouteille de vodka et une autre de tekila avec les chooters biensur ainsi que tu schweps et jus d'orange. Elle posa tous sa a coté du poste. La maline c'était déjas fait un mélange orange vodka, elle pris cette bouteille , l'ouvrit , mis sa téte en arrière pour avaler de grosse gorgée.
Olympe referma la bouteille etalla la tendre a Ifrit, elle s'essaya, adossait contre un mur et sorti de son sac, une petite pochette. Elle commença a sortit un paquet de clope, des feuilles, et un petit sachet d'herbe provencale. Elle trouva par terre un petite plaque en alluminum, elle la pris et la posa sur ces genous, cela lui fesait comme une ptit table. Elle pris sa feuille la posa sur la plaque , coupa le bout de la cigarette le mis au bout de la feuille et éventra de ces doigts délicat la cigarette pour la retournée et déposer le tabac dans la feuille. Elle attrapa le sachet et mis de l'herbe dans le tabac. Olympe mélangea le tabac et l'herbe pour ensuite attraper la feuille et commencer a la rouler. Elle tourna bienle tabac pour le serré entre ces doigts et lècha lapartit collante de la feuille pour finir. Elle tapota la parti la plus petit sur la plaque pour le tasser un peut et alluma. Elle pris une grosse inspiration et recracha la fumé doucement puis posa sa téte contre le mur et ferma les yeux.

Le badaud attaché pour cible cracha soudain au visage d’Ifrit. Le jeune ténébreux le regarda fixement, sourire en coin, sans plus bouger, s’essuyant au passage. Il marcha vers Olympe, vint s’asseoir à côté d’elle…

"Tu fais tourner ?"

La regardant, il lui fit un clin d’œil…

"Tu sais quoi Olympe, rien que pour toi, je t’offre ce feux de Bengale"

Il se mit à rire, et ouvrit sa main en direction du badaud, envoyant une longue gerbe de flamme, faisant s’enflammer l’homme attaché dans un bruit assourdissant, libérant des grands cris de douleur. Puis Ifrit saisit la bouteille tendu par la jeune feu pour en boire une grande gorgée sans avaler. Il leva son index devant sa bouche puis enflammer le bout de son doigt, avant de cracher ce qu’il venait de boire dessus, faisant ainsi une grande flamme. Le jeune ténébreux se mit à rire tout fort…

"Le prochain clodo, on le fait juste cramer à la vapeur, et ensuite, on essai de lui ôter juste la peau sans le tuer pour voir combien de temps il va gémir de douleur"

olympe passa le péte a Ifrit et rit a se qu'il lui montra.
Elle se leva a coté de ifrit se mise a dansé, attrapa de la pousière au sol la jetta et les enflamma, on aurait cru un feu d'artifice. Elle repris la bouteille et tournoyait sur elle même tout en buvant.

- mon bel Ifrit tu a des idée sadique ahahahaha

et elle se mise a rire de plus belle. Elle retourna devant Ifrit ui était toujours assis, elle s'accroupilla, lui pris le pète et lui redonna la bouteille, lui fit un clein d'oeil, lui vola un baisé et reparti voir galhya en dansant et tounayant sur elle même.
Le jeune feu aimait s'amusé son passe temps préféré a vrai dire.
Elle arriva devant le poste et mise une chanson plus dans son genre, musique .
Elle mis le son a fond et se mise a dansait comme une folle.
L'euphorie était en elle.
La chanson terminée elle en mis une second qui collait bien a la soirée, musique

La fête battait son plein, même si ils étaient peu nombreux à s’être rassemblés au sein de cette soirée organisée par Ifrit le ténébreux. Déjà deux morts, et la nuit ne faisait que commencer. Olympe était toujours en train de danser lascivement sous les yeux désireux du feu sadique. Quand à Galhya, elle se faisait plus discrète dans son coin. Les derniers clochards furent installés sur les mâts improvisés contre les montants de métal, soutenant l’édifice. Certains d’entre eux pleuraient en demande pitié, mais le feu Dark n’en n’avait que faire…

Ifrit passa derrière une des grosses cuves frigorifiques. Des bidons d’acides avaient été abandonnés à terre. Les idées fusèrent dans l’esprit dérangé du jeune garçon. Un large sourire déployé sur son visage annonçait le pire aux futures victimes de sa perversité. Il s’approchait d’un des clochards, un de ceux qui était le plus paniqué, et lui versa le bidon d’acide au dessus de lui. Un cri d’effroi et de douleur crispant se fit alors entendre dans l’usine. Le corps du clochard était en train de se couvrir de cloques virulents, et de trous dans la chair, de brûlures au 3ème degré, la peau s’arrachant totalement à certains endroits…

"Voilà, tu as une gueule plus présentable maintenant" dit il en riant diaboliquement tandis que le clochard se tordait de douleur...

"Tue moi maintenant, je t’en supplie"

"Jamais de la vie. Tu vas crevé en souffrant comme jamais !!!"

Ifrit arriva maintenant au clochard d’accoter. On pouvait lire la terreur dans ses yeux, le teint blême. Il n’osait d’ailleurs pas regarder le feu démoniaque dans les yeux, sûrement la peur d’apercevoir les enfers. Le jeune ténébreux sortit un couteau de sa poche, et coupant chaque doigt du clochard sous ses yeux. Puis il les ramassa un à un, les perça à l’aide du tige de métal, passa un fil dedans, et s’en fit un collier qu’il arborait fièrement. Puis il coupa ensuite ses oreilles, qu’il rajouta à son collier trophée. Le clochard hurlait de douleur, alors Ifrit lui saisit la langue et lui coupa à son tour, l’attacha à la suite des oreilles…

"Allez les filles, bougez, c’est la fête !!!! On devrait faire des soirées comme ça plus souvent !!!"

Ifrit dansait, allant parfois tournoyer autour d’Olympe, buvant de grandes gorgées de rhum. Il restait maintenant deux clochards. Il en saisit un, qu’il traîna violement sur une passerelle en hauteur. Il l’attacha d’une corde bien solidement. Puis Ifrit le regarda…

"Par devant ou derrière ?"

Le clochard terrifié ne savait pas de quoi le jeune garçon voulait parler. Paniqué, il n’arrivait même plus à prononcer un seul mot. Alors, le feu voyant qu’il n’aurait aucune réponse du clochard, saisit son couteau, et lui ouvrit le ventre en deux, avant de le balancer par-dessus la rambarde. Le clochard se retrouva pendu dans les airs. Son ventre, dans l’élan de la chute laissa échappé tout son contenu et ses organes, ses tripes et boyau ainsi que son estomac étant expulsé de son corps, tombant dans un bruit assourdissant sur le sol de l’usine au pied d’Olympe. Restait maintenant un clochard attaché à une des cuves frigorifiques. Ifrit saisit un des tuyaux le long de la cuve qui contenait du l’hélium à basse température, puis aspergeât le bras du clochard avec. Le froid glaça instantanément son membre. Le jeune feu le frappa alors d’un grand coup, regardant le bras se briser en milles morceaux de glace. C’était au tour de la tête maintenant du clochard. Il s’approcha de son oreille pour lui murmurer une dernière phrase…

"Sourit l’ami, c’est pour la postérité."

Ifrit souriait méchamment, son regard jaune sans vie. Puis il appliqua le tuyau de liquide froid sur la tête du clochard, lui glaça en une fraction de seconde sa tête, le tuant sur le coup…

"Qui veut un Mister Freeze spécial DJ Ifrit ?"

Ifrit tournoyait dans l’usine, dansant comme un fou, rigolant diaboliquement. Il n’avait plus de clochard pour jouer avec, mais il n’avait pas envie de rentrer maintenant…

La nuit se finissait maintenant. La soirée pleine de jeux arrivait à sa fin. Déjà, au loin, le soleil faisait sortir ses rayons à l’horizon. Doucement les gens s’éveillaient chez eux. Il était temps de rentrer, après tous ces meurtres, ce carnage. Cette nuit de pure folie restait cependant un bon souvenir. Ifrit vida le reste des produits toxiques au sol, en aspergeant un peu partout. Olympe et Galhya sortirent quand à elles, pour assister au loin du spectacle qui allait se donner, bouquet final d’une soirée d’amusement. Le jeune ténébreux se plaça au centre de l’usine, se concentra fortement, puis s’enflamma alors, libérant une quantité de chaleur puissante, rarement atteinte. Tous alors brûlèrent, les corps, les poutres, toute l’usine prit feu. Une épaisse fumée noire et nauséabonde s’échappa de ce lieux abandonné, ou du moins censé l’être. On entendit au loin des sirènes en approche. Les pompiers étaient déjà en alerte. Ifrit, accompagné des deux filles partirent prestement, prenant la direction de l’académie. Les secours auraient sans doute une sacrée surprise quand ils tomberaient sur les victimes et la manière dont ils périrent. Le jour était là, le soleil éclairant la ville de ses doux rayons. Un nouveau jour était arrivé…

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