instalation de Olympe

Nous arrivâmes dans la chambre qu'Olympe partageait avec une autre fille. J'examinai les lieux rapidement. Beaucoup trop rouge à mon goût, la décoration était plutôt soignée, l'ambiance de feu parfaitement créée. J'eus une étrange impression en découvrant quelques fringues posées sur lit de la colocataire d'Olympe, une impression de déjà vu. Je ne fis pas plus attention, sûrement avais-je croisé une fille dans un couloir qui portait ces vêtements, peut-être l'avais-je observée suffisamment longtemps pour me souvenir de ces vêtements.. mais je n'en étais pas sûr.
Je reportai mon regard sur Olympe quelques secondes après qu'elle m'ait posé une question.

- Prends le temps de t'installer si tu veux, j'ai tout mon temps... Sinon on y va quand tu veux...

Je m'étais avancé dans la chambre, et après avoir déposé les deux sacs que j'avais porté sur le sol, j'étais allé m'appuyer contre le mur près de la porte. Les mains dans la poche, j'adoptais une posture qui se voulait décontracté et ne me lassais pas de regarder Olympe des pieds à la tête avec des yeux pleins de gourmandise.

La façon dont elle s'avança vers moi fit monter la température de mon sang. J'arrêtai de d'examiner ses jambes sublimes et fixai ses yeux envoûtants. Lorsqu'elle posa une main sur mon torse, je ne bougeai pas d'un millimètre, ni ne détournai le regard. Adoptant une voix un peu plus grave, je déclarai sur un ton suggestif:

- Je pourrais bien commencer par t'emmener au septième ciel, mais c'est assez loin, il faudrait partir sans délai...

Je me sentais parfaitement dans mon élément. Olympe était plus que réceptive à mon attitude et j'adorais, je prenais déjà mon pieds rien qu'à jouer à ce petit jeu, ce préambule. Je luttais pour garder les mains dans mes poches, ainsi que pour maintenir mon regard droit, bien que j'apercevais dans mon champ de vision un magnifique décolleté qui me semblait appeler mon nom.

- Oh lala le septième ciel tu ne serait pas un peu prétencieu???

Elle se recula et comença regarder de haut en bas et de bas en haut le jeune homme, avec un regard de braise.

- c'est vrai que tu est pas mal!!

Elle se déplaça vers le couloir en lui attrapant les mains:

- et bien vien alors..

Elle ferma la porte de sa chambre violemment , elle lança un regard envouteur et un sourir charmeur a Meloar. Olympe lui tenais toujours les mains et se mit a marchait en arrière avec en face d'elle Meloar qui la regardait fixement avec le visage niait. Elle se mis a rire et d'une manière sauvage et impulsive ,elle le regarda envouteusement dans les yeux, lui lacha une mains serrant trés fort l'autre, se retourna d'un coup et se mit a courir et tornoyer dans les couloirs. Le pauvre garçon ne sait que faire a par suivre Olympe qui était si vive et plaine d' énergie.

- Il n'y a pas un endroit pour se promener ici??? Aller je vais essayer de trouvait tu ne me dit rien.

Elle tenait toujours sa mains,elle le tirer dans tous le batiment jusqu'a trouver un endroit qui ressemblé a un parc.

[Entre nous, Melo n'a jamais un air niais;)...]

Olympe me posa une question à laquelle je répondis par un grand sourire arrogant, conforté par la remarque qui suivit après qu'elle m'ait dévisagé. Ensuite, tout alla très vite. Olympe me prit les mains et après avoir fait quelques pas à reculons, elle se retourna et se mit à courir. Fermement agrippé, je ne pouvais pas la lacher, et de toute façon, je n'en avais aucune intention. Même si elle avait voulu jouer au chat et à la souris, je me serais fait un plaisir de me glisser dans la peau du félin...
Elle me fit comprendre qu'elle cherchait un endroit où nous pourrions nous balader et bien que cela ne corresponde pas exactement à ce que j'aurais choisi, je la suivis. Seulement voilà, elle ne connaissait pas les couloirs de l'académie, et on serait crevé d'avoir couru avant d'être arrivé à un endroit qui lui aurait convenu. C'est pourquoi, malgré sa volonté de me tirer au hasard des couloirs, je finis par accélérer l'allure pour ne plus être traîner derrière. Je revins rapidement à sa hauteur et l'attrapai par la taille. Certes elle était vive, mais elle ne put résister à ce frein. Mon bras autour de sa taille, je l'attirai contre moi et la regardai en souriant. Un peu essoufflé, j'attendis d'avoir repris ma respiration, du moins assez pour lui souffler :

- Par ici!

A mon tour je la pris par la main et l'entrainai dans les couloirs, mais la différence était que je savais pertinemment où j'allais. Un lieu discret, où nous pourrions nous balader tranquillement dans un environnement charmant... la jardin!

Topic à suivre... au jardin!