Cas de conscience

Ifrit avait courut aussi vite qu’il avait pu jusqu’au sommet du volcan. Arrivé sur cette montagne de feu, sans vie, terre de désolation, le jeune ténébreux fit face au cratère en éruption. De longue gerbe de feu, des séismes réguliers, l’odeur de souffre omniprésente comme unique paysage. Les roches brûlantes au sol, le vent chaud soufflant par bourrasque, fouettant le visage et la peau tel de grandes gifles...

Ifrit s’arrêta au bord du précipice, contemplant le fond du cratère. Il cria un grand coup. La colère et la rage en lui le consumaient intégralement. Son corps entier prit soudain feu, libérant une chaleur comparable à celle émise par la lave débordant des fissures au sol. Une boule de feu se forma autour du jeune homme, une boule compacte, d’où la lumière ne pénétrait dedans. Puis plusieurs ondes de choc s’en échappèrent à intervalles réguliers, émettant une formidable énergie. Un vent chaud balaya la surface du promontoire ou était Ifrit, puis la boule de feu disparu soudainement. Mais l’être qui se trouvait au centre n’était plus le jeune qui était entré à l’académie. Ce nouvel homme avait la peau noire, comme carbonisé, les veines brillantes de couleur jaune lave, tout comme son regard. Une chaleur énorme se dégageait de celui qui se tenait debout...

Il n’avait plus rien du Ifrit qu’avaient connu les autres pensionnaires de l’académie. C’était un être démoniaque, la rage et la colère au ventre, son désir de vengeance comme principal moteur. Le nouvel Ifrit n’avait plus aucune limite. Il regardait la vallée en contre bas, devinant l’académie derrière le bois au pied du volcan. Le goût du sang à la bouche, il préparait avec délectation sa prochaine vengeance, qui serait à coup sur sans aucune pitié...

la chaleur augmenter , elle crea un vent pour se proteger de cette fournaise . aus fur et a mesure qu'elle avancé le paysage devenait de plus en plus desoler et vide . tous se bousculer dans sa tete , elle n'avait pas de plans juste de faire sont possible pour ifrit !

elle entendit un cris , c'etait ifrit . elle arriva aux sommet et le vue , il etait recouvert avait le corp sombre parcourue de veines couleur jaune vif d'or !

le neant devait etre responsable de se changemant, c'est comme si toute sa colere sortait ,elle eu un pincement aux coeur! , elle savait combien sa souffrance etait grande, mais elle etait sur que elle pouvait encore faire quelques chose , de toute facon elle ne repartiré pas sans lui , elle ne l'abandonnerer pas !

il n'avait pas remarqué sa presence !

ifrit ! dit elle d'un voix calme..

Ifrit entendit une voix douce, semblable à son souvenir. Il se retourna lentement. C’était Auréae qui l’avait suivit jusqu’ici, bravant la chaleur du volcan, le sol aride et coupant des roches. Il restait là, debout, immobile, à distance de la jeune fille, la regardant de ses yeux jaunes sans vies, un sourire sournois aux lèvres...

" Je savais que tu viendrais. Tu es tellement prévisible. Jamais de surprise avec toi. "

Sa voix avait également changé en plus de son apparence physique. Elle était d’un ton grave, raisonnant en échos, d’une tonalité bien au delà de la faculté humaine. Une voix qui venait d’ailleurs, à donner des frissons dans le dos...

" Tu es venu ici pourquoi au juste ? Me sauver ? Sache que je n’ai pas à être sauvé, j’accomplis mon destin. "

Il la fixait intensément, sans baisser le regard, cherchant dans ses yeux à sonder son esprit, ses faiblesses, bien qu’il n’était point effrayer ni inquiéter par la fébrile jeune fille qui se tenait debout face à lui...

oui je suis venue , pourquoi ! la reponse est simple ! par se que je vais la ou me guide mon coeur , il s'avere que mon coeur te suis peus importe ou tu vas ! je n'abandonerais jamais , par se que l'amour n'abandonne jamais !
je resterais quite a me bruler les ailes ! le jeux en vaux la chandelle ! tu en vaux la peine !

elle ne baissait pas les yeux sont regard bleuté etait plongeait dans le sien !
sa levres c'etait remis a saigner et coula legerement jusqua sont menton , d'un geste lent et delicat elle passa la main sur sa levre et dit :

je sais que tu as mal , je sais combien tu souffre et combien tu est en colere ! c'etait ton seul moyen pour survivre apres tous se qui t'est arriver ! tu tes murais dans une carapace de colere , pour cacher ta souffrance , pour cacher ton coeur a vif ! mais je sais combien tu en souffre malgré tous !

elle le regardait avec tous l'amour du monde !

Ifrit était touché par les paroles d’Auréae. Elle avait pénétré son cœur et y avait fait sa place. Même si il ne se l’avouait pas, il en était amoureux, et la dernière chose qu’il voulait, c’était encore bien lui faire du mal ou la blesser...

Cependant, ce sentiment de puissance, de colère si intense, il ne l’avait jamais ressentit si profondément. Il se sentait invincible. Grisé par toute cette énergie en lui, il ne voyait plus que sa vengeance, appelé par le goût du sang et de la souffrance. Il avançait doucement…

"Ne reste pas Auréae, laisse moi passer, je ne te veux aucun mal. Ecartes toi de mon chemin s’il te plait."

Il la regardait intensément, se battant au fond de lui entre laisser libre court à sa colère, ou bien rester avec la fille qui avait gagné son cœur. Son combat intérieur ne faisait que commencer. Il resta figé sur place, comme bloqué dans sa démarche, son esprit se posant mille questions...

"Je… Je sais plus… Je ne sais plus où j’en suis"

Olympe arriva sur le volcan tranquillement, son visage ravit d'étre enfin sur un lieu liée a elle.
Elle pris une grande respiration, et inspira l'air et expira tout doucement. L'odeur du soufre lui redonnée l'énergie perdue par sa solitude dans l'académie.

Elle sautillait de bonheur, tournoyait sur elle méme, le bonheur se lisait sur son visage, le volcan était l'étre qui la connaisait le mieu.

Elle commença à grimper en hauteur et de loin vit deux silhouettes.

* Mais qui est-ce ici?? pff peut méme pas étre tranquille!! *

Elle se raprocha doucement en ce cachant derrière des buissons et elle vit un étre diabolique avec des yeux jaunes et une jeunes femmes qui n'avait vraissemblablement aucun rapport avec ce lieu.

*mais que ce passe t-il?*

Elle était proche maintenant et les entendait parler, elle compris que l'homme était Ifrit.

*Ifrit , ce bel homme mais que lui est-il arrivé*

Elle resta accroupie derrière le buisson, en écartant discraitement le buisson avec ces mains. Seule ces yeux bleus était voyant mais elle ne le savait pas!

non je ne repartiré pas ! ou ont repare ensemble ou pas du tous ! je ne te laisserais pas tu as dit que tu me faisait confiance , moi aussi je te fait confiance , je sais qui tu est vraiment je sais se qui se cache deriere la carapace !

elle n'avait pas baissais sont regard d'un bleu intense elle avait sont regard comme plongeait en lui comme si elle ne voyait plus l'exterieure mais juste se qu'il cacher aux fond de lui !

quand tu etait dans le coma , je tes dit que tu etait une flamme , dans mon coeur maintenant est a jamais ! je le pensé ! je et dit tous a l'heure que pour toi j'etait pres a prendre le risque de me brulé les aile ! c'est vrai si ont est pas pres a tous pour la personne que l'ont aime alors ont ne sais pas se que c'est que d'aimer vraiment !
et moi je t'aime ! si tu pouvais lire dans me yeux tu ne verais que ton reflet a jamais gravé car rien ne poura l'effacer !
mon coeur est a jamais marqué , par le premier homme a l'avoir fait vibrer !

elle n'avait pas de plan precis sauf laisser parler sont coeur !

Ifrit s’avançait toujours vers Auréae, ne la quittant pas un seul instant des yeux. La chaleur et l’odeur du souffre devait lui être insupportable, pourtant, elle resta là, pour lui, guidée par son amour pour le jeune ténébreux. Il était face à elle désormais, diminuant au maximum sa chaleur et son énergie pour pouvoir approcher Auréae sans lui causer de blessures ni autres. Il l’enlaça tendrement, puis se penchant à son oreille pour lui murmurer quelques paroles…

"J’ai de la chance de t’avoir. Jamais tu me ne laisseras pas, je lis ça dans tes yeux. N’ai pas peur !"

Il tourna rapidement sur lui, bascula soudainement mais délicatement Auréae dans son dos, avant d’envoyer une longue gerbe de flamme en direction des quelques buissons près d’eux, ceux-ci s’enflammant instantanément. Ses sens développés lui donnaient l’idée d’être épié, surveillé, et il n’aimait pas du tout ça….

"Montres toi ! Sors de ton trou, avant que je te brûle jusqu’à plus pouvoir te reconnaître !"

Il gardait précautionneusement Auréae blottit dans son dos pour la protéger de son corps, guettant une réaction qui pourrait provenir du buisson. Il ne faisait pas monter sa colère de peur de blesser Auréae qui était là, tout contre lui. Il frissonnait de temps à autres, sentant la fatigue le gagner. Cette énergie puissante en lui demandait une grande concentration de sa part pour la canaliser et l’exploiter selon sa volonté...

Olympe vu Ifrit enlacer la fille. Son coeur eu mal elle devaint rouge de colère, ces yeux rouge comme la braise.
Elle essayer de se calmer mais c'était plus fort qu'elle, et Ifrit tourna la téte vers le buisson et constata sa présence, il commença a bruler les buissons.
Olympe se leva , fronça les soucils, elle mis ces mains face au sol. Et d'un coup le sol commença a tremblé. Le volcan en pur symbiose avec elle l'aida, il se mit a provoquait des explosions de gaz.

*Qu'est ce que je fait?*

Elle avait telment mal qu'elle s'arréta brusquement et commença a partir en courant.

ifrit c'etait approcher lentement d'elle et lui avais dit de ne pas avoir peur , qu'il avait de la chance de l'avoir ! et il avait finis par l'enlacer ! elle frissoner pas par se que il faisait froid juste par le bonheur de retrouver ses bras ! ses bras qu'elle aimait tant dans lequels elle se sentais si bien et tellement proteger !

*non c'est moi qui est de la chance de t'avoir !*

puis soudains delicatement il la fis passer deriere lui , ifrit avait sentit une autre presence , et voulait la proteger !

mais le faite de tourner si vite raviva sa douleurs elle mis sa main a l'abdomen est se mordis la levre !

elle sentit soudain le sol tremblé et de petites explosiosn de gaz puis soudain plus rien !
juste des bruit de pas qui s'eloigné en courant !
mais elle n'avait pas peur le faite de sentire ifrit contre elle la rassurait
elle lui faisait vraiment confiance

elle ne bougait pas elle rester deriere ifrit elel voulait essayer de calmer sa douleur en restant immobile un instant !

Alors que le volcan repartait dans une formidable série d’explosion, de tremblement et d’éruption, Ifrit se tourna face à Auréae, la contemplant de son regard sans vie. Deux êtres réunis et liés par un amour puissant au milieu de ces terres désolées, chaotiques. Le soleil commençait à décliner à l’horizon, annonçant la nuit proche. Ils avaient vécu assez de péripéties pour la journée, il était temps de rentrer à l’académie. Ifrit remarqua qu’Auréae se tenait le ventre d’une telle façon, qu’il semblait bien qu’elle souffrait de cet endroit, sûrement une blessure due aux événements passés au repère…

"Il est temps de rentrer. J’ai besoin de me reposer. J’ai assez vu de monde pour aujourd’hui."

Il venait de dire ces quelques d’un ton glacial, qui jeta un froid entre les deux amoureux. Ifrit était distant, ne parlant que très peu. Il semblait préoccupé, perdu dans ses pensées, préparant des tas de projets. Son visage affichait toujours ce sourire narquois, qui en disait long sur le destin et le futur qu’il réservait à l’académie. Le jeune ténébreux ne semblait plus affecté par son environnement, ni même les personnes l’entourant. Délicatement, il porta Auréae, la blottit contre lui…

"Je te ramène, tu as besoin de repos aussi et de soin."

Entre deux nouvelles éruptions, Ifrit s’élança sur la pente du volcan, parcourant le sentier qui redescendait à la vallée en courant, à toute allure, comme si le poids d’Auréae n’existait pas, ne sentant plus aucune contrainte physique. L’académie fut bientôt en vue…

TOPIC FINI