arrivée de la belle Olympe

Olympe entendit la porte s'ouvrir violemment et voit apparaitre un homme

*hummm interressant*

Elle continu donc a bouger ces fesses pour qu'il la voit.
Le jeune homme arrive vers elle d'un pas ferme et décidé. Il se met a la matter, elle adore sa, elle le regarde donc avec des yeux ensorcellant.
Mais il en avait rien a faire il se mit a lui parler en aboyant dessus mais elle le regarda et ne dit rien, il avait l'air de prendre plaisir.

*hein quesqu'il raconte ma jupe trop courte , je peus avoir la chiasse c'est quoi le rapport ? laisse c'est rien regarde comment il est bien foutu chauffe le ma vieille*

Puis tout d'un coup elle se mis a faire un sourir pervers. Lorsqu'il eu fini son grognement elle marcha vers lui sensuellement, en tournoyant une mèche de cheveux autour de son doigts. Elle se colla a lui en touchant son torse et se mis a lui murmurer dans le creu de l'oreille tout en lui mordillant l'oreille

- mon grand, lorsque tu aura se qu'il faut ou il faut , elle lui choppa les parties génitales ,on verra pour la scatophilie si tu aime temps sa.

Lorsqu'il senti la force qu'elle avait mis pour les attraper, il ne fit aucun mouvement.
Elle se mis a éclater de rire et lacha prise.

- alors maitre scato serait-il prét a accompagné la jeune pucelle dans sa chambre, laisse mes affaires vu ton amabilité je vais les porter moi même.

C'était un début de soirée très calme, il n'y avait absolument plus personne dans le Hall. Pour ma part, j'étais assis sur la dernière marche, tout en haut du grand escalier, de telle sorte que je voyais à peu près tout ce qui se passait en contre-bas. Alors que je passais en revue les plus beaux visages que j'avais croisés et les plus beaux fessiers que j'avais pincés, une jeune fille passa la lourde porte. Non, ce n'était pas une jeune fille, c'était un rêve, l'incarnation de la sensualité, le reflet des fantasmes de tous les hommes de cette foutue planète. Je restai bouche bée en la voyant évoluer élégamment et préférai la regarder, un filet de bave au coin des lèvres plutôt que de répondre à son appel. Elle se plaça devant un miroir et s'admira.

*Cette fille... ce corps... oh putain!*

Je finis par me lever et m'apprêtai à descendre les marches pour rejoindre cette créature de rêve avant que je ne me réveille, mais un type que je n'avais encore jamais vu fit une entrée fracassante dans le hall. Je stoppai net après avoir descendu tout juste deux marches. Tout d'abord une vague de colère monta en moi, j'en voulais à mort à ce type qui débarquait de nulle part et brisait mon si joli rêve. De quel droit s'invitait-il dans mon rêve celui-là? Ensuite, je décidai de ne pas descendre d'avantage, mais plutôt d'attendre le moment le plus opportun pour les rejoindre. J'écoutais donc attentivement ce qu'il allait se passer, et failli éclater de rire lorsque la voix du gars s'éleva et résonna dans tout le hall.

Ifrit ne réagit pas au début. Elle avait du caractère et il adorait ça. Cependant, elle allait devoir apprendre qui menait la barque dans l'académie. Il lui attrapa violement la main, la serra très fort...

"Ecoute petite, tu te crois irrésistible ? Mais regarde toi. Je préfère me finir tout seul au chiotte plûtot que tu me touches"

Il repartit dans un éclat de rire. Il regarda ses affaires, quelques sacs...

"Pour tes affaires, la benne à ordures c'est par là-bas !" lui désignant en même temps la porte encore ouverte...

"Pour ta chambre, il doit avoir encore de la place au grenier je crois"

Il la poussa légèrement de façon à ne pas être trop proche d'elle. Elle avait les mains baladeuses. Il ne voulait pas y laisser des parties de son corps dans une mauvaise réaction de sa part...

Elle vit a réction de l'homme et se mit à écater de rire

-c'est toi le bouffon ici ? c'est sa tu vien faire rire les nouveaux arrivant!!

Elle pris ces affaires et ce dirigea d'un pas majesteux tel une déesses vers un grand escalier et la elle vit un autre jeune homme d'apparence plus calme

- hello you! fit t'elle d'une voix mélodieuse

L'attitude des deux inconnus était assez divertissante à voir, leur ballet m'amusa un temps, mais vu la tournure des événements, je me disais que l'un ou l'autre allait finir par prendre des coups. Déjà j'avais esquisser une grimace de douleur partagée lorsque la belle demoiselle avait choppé les bijoux de famille du grand nerveux. D'autre part, je voulus serre ce dernier dans mes bras quand il avait repoussé la beauté ; je ne risquais pas de rater le coche ce soir. Je descendis donc les marches rapidement, d'un pas dansant et arrivai enfin en bas, un immense sourire aux lèvres.

- Vous énervez pas les jeunes, on est des gens civilisés non?

Je les regardai l'un après l'autre, revenant plus souvent sur la fille et prenant le temps de bien examiner sa silhouette. Parfaite, elle était tout simplement parfaite, et même à la distance où je me tenais, un peu plus d'un mètre, je sentais que cette fille avait une aura. Le temps que j'arrive au pieds de l'escalier, elle s'était approchée, et m'adressa un salut des plus ennivrants.

*Elle, elle respire le sexe à deux kilomètres!*

Je préférais ignorer la remarque du type, qui devait soit être complètement bourré, soit disjoncté de naissance. Une chose était certaine, il lui manquait une case. Ne serait-ce que pour fuir devant une fille aussi... charmante. En même temps, ce n'était la mai qu'elle lui avait serrée pour le saluer, peut-être devais-je m'estimer heureux. Ou pas. L'autre nous bouscula, je ne bronchai pas et le laissai s'éloigner. Qu'il aille à sa chambre seul, moi j'avais d'autres projet subitement.

- En fait je crois que je suis déjà couché. Je crois que je suis en plein rêve.

Je saisis la main d'Olympe et me penchai pour lui faire un baise-main. Ma béatitude était démasquée, autant jouer le jeu. Je me redressai et plongeai mes yeux dans ceux d'Olympe.

- Moi c'est Meloar... Et... lui je ne sais pas qui c'était, mais il doit être sacrément frustré.

Je souris et désignai du doigt les sacs qu'elle transportait.

- Je t'aide?

Tout dans son attitude me conduisait à un constat qui m'avait tout de suite paru évident : cette fille, cette beauté, non seulement c'est une Feu à en voir ses cheveux, mais surtout, c'est une Lust! C'était rare que j'entame la conversation avec une Lust, déjà je n'en avais pas croisé beaucoup et surtout généralement c'était... enfin bref, différent.
Elle accepta que je porte ses bagages et me demanda même un petit service, que j'allais me faire un plaisir de lui rendre!

- Je peux te faire une visite de tous les bâtiments, je les ai parcouru en long, en large et en travers... Je ne les connais pas comme ma poche, mais les endroits les plus intéressants n'ont plus de secret pour moi.

J'en rajoutais un peu évidemment, j'étais certes capable de m'orienter dans l'académie, mais bon nombre de cachettes m'étaient inconnues. Nous grimpâmes les escaliers, en direction du bâtiment Flamèche, et de la chambre d'Olympe...